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le bla-bla de votre photographe...

Et si vous existiez enfin? et pas que sur les photos...

On les prend en photo, on les entoure d’amour, on tente d'immortaliser leurs rires pour les garder toujours…

Eux : nos enfants, nos maris (ou nos femmes), nos chiens, nos familles... mais nous, où sommes-nous ?

A quand remonte la dernière (belle) photo avec nos enfants, nos maris, nos chiens, nos familles?!

 

Combien y a t'il d'images où l'on nous voit rire avec eux?

Où l'on voit l'Amour qui explose de nos coeurs pour eux...?!

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Nous sommes trop souvent absent(e)s des albums de Famille.

Trop souvent absentes sur les images alors que souvent, c'est nous qui portons cette Famille, nous qui créons ces moments d'amour, ces souvenirs merveilleux... nous le faisons dans l'ombre, derrière nos téléphone, alors que ce que nous méritons vraiment, c'est LA LUMIÈRE.

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Vous êtes celle qui prend les photos. Celle qui s’occupe de tout, tout le temps.

Les enfants sont beaux, l'amoureux a une chemise nickellement repassée,  tout le monde sourit, le décor est parfait — et vous ? Vous êtes dans chaque pixel de la réussite de cette image mais factuellement, vous êtes absente.

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On n’aime pas y penser, mais la vérité, c’est que rien ni personne n’est éternel. La vie est faite de surprises, parfois belles, parfois brutales. Et quand tout bascule, ce qu’il nous reste, ce sont les souvenirs… et les images. Et sans les images, les souvenirs finissent par s'envoler...

Une photo devient alors bien plus qu’une image : c’est une présence qu’on peut encore regarder, toucher du regard, chérir, transmettre. Elle parle à ceux qui restent. Elle console. Elle raconte ce lien, cet amour indéfectible, cette histoire, ce lien que rien ne pourra effacer, même pas l'absence.

 

Imaginez, la voix de votre petit dernier qui demande à son Papa : "dis Papa, tu as une photo de Maman et moi?!" alors que la vie vous a arraché à lui... Imaginez, et sentez votre coeur se craqueler...

C’est aussi pour ça que ces images comptent — pas pour leur perfection, mais pour leur valeur.

Dis Papa, pourquoi il y a pas de photos de Maman avec moi...?

Histoire d'un regard...

Nous avons peut-être même appris à nous faire petite, à esquiver l’objectif, à baisser les yeux.

Parce que depuis toujours on nous dit : rentre ton ventre, souris, tient toi droite, attention à ton double menton.... et que sans que sans nous en apercevoir, nous avons juste préféré sortir du cadre

 

Sortir du cadre, parce que c'est plus facile. Plus facile que de rentrer le ventre, se tenir droite, relever le menton, sourire de façon naturelle et tout ça en même temps.

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Sortir du cadre, c’est devenu un réflexe. Une façon de se protéger, de ne pas essuyer une énième remarque blessante, de ne pas affronter ce regard — celui de l’objectif. Parce que dans ce regard, nous avons peur de ne pas nous reconnaître. Ou pire encore : de nous reconnaître et de ne pas nous aimer.

Parce que le sourire n'est pas très franc, parce que le menton s'est un peu rempli avec les grossesses, et le ventre aussi d'ailleurs!! Et puis parce qu'avec tout ce poids sur nos épaules, se tenir droite devient un peu plus difficile.

​Alors comment nous aimer, alors que depuis toujours, on nous apprends que pour pouvoir s'aimer, il faut être "parfaite" : droite, souriante, le ventre plat - plat mais attention, pas trop maigre non plus, juste qui ne se voit pas.

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Alors nous avons fait ce que font tant de femmes : nous avons disparu doucement des photos, puis aussi un peu de notre propre histoire.

 

Pourtant nous méritons d’y être. De reprendre notre place, pas celle qu’on nous dicte, mais celle qui nous revient de droit. Pas en rentrant le ventre ou en forçant le sourire, mais en respirant. En étant là, tout simplement. Présente. Vivante. Vraie.

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Et si ce n’était pas à nous de changer, mais au regard posé sur nous d’évoluer ?

Un regard qui ne juge pas, qui ne mesure pas, qui ne compare pas — un regard qui accueille. Un regard qui aime.

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Et si... Et si ce regard si cruel, ce n'était que le nôtre...?

Celui que nous portons sur nous chaque jour, en silence. Celui qui scrute, qui compare, qui juge. Celui qui s’est formé au fil du temps, nourri de ces remarques blessantes, de modèles inaccessibles, de ce que la société nous a appris à penser de notre propre corps.

Ce regard-là, nous ne l’aurions jamais sur nos amies. Ni sur nos enfants. Ni même sur une inconnue dans la rue.

Alors pourquoi sommes-nous si dure avec nous-même ?

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Je vous vois venir : je dois changer. Perdre 10, 20, 30 kilos. Acheter de l'anti-rides. Me mettre au sport.

 

Mais non. NON. Ce n’est pas nous qu’il faut changer. C’est cette voix intérieure qu’il faut adoucir. La faire taire, lui laisser moins de place, un peu moins de place chaque jour.

 

Apprendre à aimer ces rides, parce que certaines n'ont pas la chance d'en voir apparaitre... Apprendre à aimer ces kilos que nous seule jugeons en trop, mais qui sont souvent le poids de notre Histoire : un enfant ou deux, ou trois. Un deuil difficile à traverser.

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La seule chose que nous devons faire, c'est être un peu plus douce avec nous même. 

Ne changeons rien! Rien sauf...

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Et si pour une fois, vous me laissiez être celle qui prend les photos...?

 

Juste un instant. Juste une fois Le temps d’une séance. Le temps d’oser être là, sans filtre, sans tension, sans masque. Sans rentrer le ventre. Avec un vrai beau sourire qui admire votre Bébé. Même avec un double menton parce que tout le monde s'en fout.

 

Laissez vous juste un instant, une parenthèse. Le temps de créer des souvenirs. Le temps de reprendre votre place dans les albums de votre famille. De reprendre un peu de place dans votre vie et dans votre coeur.

Le temps d'offrir à vos enfants, à votre mari (ou à votre femme), à votre Famille et même à votre chien, des images de vos bras qui les serrent, de votre regard qui les aiment, de vos sourires qui dévoilent le bonheur de l'instant présent. 

 

Et puis ce qui est magique, c’est qu’en voyant vos images, le vilain regard qui vous toise dans le miroir chaque matin va commencer à changer. Lentement, il deviendra plus doux. Plus juste. Moins tronqué. Puis vous réaliserez que vous avez le droit d’exister - pas en version corrigée, mais en version vraie.

Vous réaliserez qu'il est inutile de rentrer son ventre, de se tenir droite, de relever le menton ou de plaquer un faux sourire sur son visage. Vous réaliserez que vous êtes la meilleure version de vous même sans tout ça.

 

Vous réaliserez que cette version-là… elle est belle

Et alors vous existerez. Et pas que sur les photos.

Et ces images là nous aurons permis de transformer le moment présent en un merveilleux cadeau pour l'avenir... 

Et la photo dans tout ça...?

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A très vite, pour un nouveau bla-bla de votre photographe!!

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Always with love, 

Elo 📸🧡

Article conçu & rédigé par Elodie PUYRAJOUX Photographies à des fins informatives. Reproduction totale ou partielle strictement interdite. 

Elodie Puyrajoux Photographies

Spécialisée Grossesse, Naissance & Portraits FineArt
Votre photographe à Bologne

(10km de Chaumont & Froncles, 30km de Joinville, 45min de Langres, 1h15 de Dijon) 
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